Les oliviers
Décidément, je n'aime plus
ce que le monde est devenu.
J'y ai perdu ma place
et souvent, de guerre lasse,
je cours me réfugier
à l'ombre des oliviers.
Et là, la tête à l'envers,
je goûte aux larmes amères
que la vie a déposées
sur mon coeur blessé...
Commentaire

Posté par
christanil
le 29/07/2010
Ah les oliviers. Le plus merveilleux arbre, qui demande si peu et donne tant de fruits, décore si joliment notre Provence et semble développer tant de plénitude. Tu as bien fait de te réfugier sous l'olivier.
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