Par Jacques Raffin
Texte daté de 2012/03/24
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En double, parce qu'on a deux yeux...
Pas de larbins, ici, Missi Dominici…
Et chacun débarrasse ses reliefs de repas,
Ramasser son assiette, sa serviette, ses couverts,
Sans oublier la cruche, le coca et les verres…
On peut laver la table, et après, pourquoi pas ?
Nourrir le lave-vaisselle, lui ajouter du sel…
Nulle surprise, à la fin, quand, au loin, le glas sonne,
Et les parents mourant, on est une vraie personne.
Commentaires (2)
Posté par
Jacques Raffin
le 24/03/2012
Au pays des enfants-rois, c'est un poème sur la relation parents-enfants, où les premiers se font, parfois longtemps après l'âge adulte, les domestiques des derniers... et ainsi, ne les aident pas à grandir. Je connais ainsi des piaules d'étudiant(e)s qui sont de véritables porcheries...
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Nerona
J'avoue que cet acrostiche m'est hermétique. La faute à mon intellect surement,