PARCE QUE TU M'ÉMEUS, JE THÈME ©Ce texte est protégé par un copyright.
Même si d'une Reine tu es le Roi,
Entre elle et ceux que sa mère a allaité,
Pas même une fois,
Tu n'entreras dans leurs démêlés,
Car entre l'ongle et le doigt,
Ne s'immisce que la saleté.
Ma probité s'est engouffrée dans un dédale,
Par fierté, mon corps cale,
Mon erreur à besoin d'une fessée morale,
Et sans premier pas,notre relation s'ensable.
L'entêter de sablier s'installe à notre table,
Étouffant, par la même, notre commune fable,
Et pour ne pas que tu ne m'accable,
Je demande pardon mille fois pour ce bug sentimental.
Pourtant nulle nature à être rancunier,
Encore moins avec un être tant aimé,
Alors mon amour sort du coma,
Et les yeux de mon coeur à nouveau te voit.
Ayant, en commun, non pas l'amour de nos chairs,
par destin et décence,
Mais l'amour de nos chers,
à dessein et à outrance.
Telle la Déesse Empanda dans sa munificence,
Tu donnes sans compter à ceux que tu panses,
Et tu penses donner à ceux qui peuvent compter,
Une oreille aux maux, et une épaule, pour réconforter.
Mariée tu es et fus présente pour ta fratrie,
Partageant vacances et pains, même sans penny,
Et de surcroît, pardonnes quand "Elle" l'oublie,
Ta clémence rend ma vue toute ouïe.
En tant que mère tu es comblée,
Tes aînées sont ta fierté,
Mais à bien chercher,
Qui les a éduquées ?
Si les mamans étés notés,
Alors tu serais sur-diplômée.
Tu es cette fidèle qui affectionnes particulièrement mes écrits,
Motivant l'auteur dans son hobby,
Adhérant à ce style aux hétéroclite couleurs,
Parfois sérieux, tantôt farceur,
Mes mots s'imprègnent sur l'écran d'Ourdi...nateur.
Un bout de femme qui m'inspire à faire mieux,
Je métisse des fables à mon art bohème,
Toi, avec le corps beau et le regard, tu m'émeus,
Moi, tel le corbeau et le renard, je thème.
On peut naître beau,
Sans avoir l'être beau,
Dieu t'a béni des deux beauté,
Divine à croquer,
D'une bonté innée,
Je te suis dévot.
Et honni soit qui mal y pense,
L'amour a plusieurs sens,
Pour nous c'est d'échanger des mots en danse,
De rire jusqu'à l'état de transe,
Une complicité qui est notre pitance.
Étant de même acabit,
Peu nous importe la médisance,
Rétorquant à la force d'un Tsunami,
Par une vague d'indifférence,
En amitié nous serons âme-soeur à vie.
Pour certains tu es soeur, pour tes parents tu es fille,
Pour d'autres tu es femme, suscitant envie ou jalousie,
Pour tes enfants tu es mère et un jour mamie,
Mais pour moi,tu es ma Muse qui brille,
Et bien plus, une indispensable Amie.
Bonne et meilleure Amie.....versaire OURDI.
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