Par Etreneant
Texte daté de 2012/09/12
Marchander le temps d'une existence
Offrir aux minutes une deuxième chance
Unir la poussière au sol qui la rejeta
Rire à s'en exploser le foie
Insensiblement passer les larmes à trépas
Rêver la vie, ne fut-ce que dans le coma
Commentaires (3)
Posté par
Crisyx
le 19/09/2012
MourireLe premier mot du quatrième vers me fait l'effet d'une heureuse erreur d'aiguillage. Tu croyais nous emmener vers le bas grâce à l'acrostiche. Eh non. Après un coup de "mou", on repart.
Posté par
Etreneant
le 19/09/2012
L'éternel débat entre vivre et survivre. Le rire offre une seconde chance à condition de savoir le laisser exploser. Au fait, qui a dit que la poésie est thérapie ? Ta lecture m'ouvre d'autres visions...
Posté par
Loup gris
le 26/09/2012
J'aime ce texte, surtout le premier et le dernier vers, un peu trop romantique peut être...
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