Par Jacques Raffin
Texte daté de 2012/03/15
Deux extraits d'une série en cours, qui compte beaucoup de membres…
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Deux CORPS©Ce texte est protégé par un copyright.
C’est lui, dont on se moque, quand il est disgrâcié…
On oublie un peu vite l’humain qui, enfermé,
Regarde, par les trous des yeux, les biens normés
Pliés de rire, d’orgueil, devant leur supplicié.
Si ce n’est pas méchant, on peut en faire un chant.
C’est sur lui que l’on juge l’humain qui est dedans.
On dit qu’il est très gros, ou vieux, qu’il manque de dents…
Regardez ces cheveux, si rares sur le devant !
Peut-on dire, comme les autres, qu’il était mieux avant ?
Sacré décrépitude, qui plombe nos aptitudes…
Commentaire
Posté par
Evelyne
le 17/03/2012
On ne regarde bien qu'avec le cœur. Et il est vrai que des aprioris peuvent rendre le regard indifférent, froid ou même méchant.
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