Coup fatal
De jours en jours on se rapprochait toi et moi
De plus en plus ensemble, devenant complice.
Mais ce bonheur, se changeait en un supplice
Car tu ne pouvais être seulement à moi.
Ma bien-aimée tu avais déjà le cœur pris
J'ai tenté doucement et petit à petit,
De te le faire oublier, mais sans réussir
Car ton grand amour pour lui ne semblait périr.
Mon amour pour toi se dégradait peu à peu.
Sans retour de ta part face à mes sentiments
Je ne pouvais pas rester seul et malheureux.
Tu n'a pas réussi, pour nous deux, à choisir
Dans un tel cas tu ne me laisse pas le choix,
J'ai décidé de partir pour ne plus souffrir.
Commentaires (4)
Posté par
Clchtt
le 05/07/2010
Très joli. Je connais ça...
Posté par
christanil
le 05/07/2010
Oui, partir, mais reste le souvenir, gravé dans la mémoire. Il faut que le sable du temps efface tout cela.
Posté par
Clchtt
le 06/07/2010
Efface... il en reste toujours une trace... non?
Posté par
christanil
le 07/07/2010
Pas toujours non. Je suis plus âgée, et je peux dire que mon cœur n'a gardé aucune trace de mes amours de jeunesse. Le temps vous dis-je.
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