Oui mais non. Sinon ça aurait été ouï… ©Ce texte est protégé par un copyright.
Quand il y a trop de chose à dire on se tait.
Je ne suis pas pour, je n'ai rien contre si ça te plait?
Qui ne dit mot consent. Pour parler il faut entendre.
Ouvrir les yeux, les oreilles et l'esprit pour comprendre.
La société nous endort en nous faisant courir.
La satiété ne réveille pas pourtant elle fait vomir.
Elles nous anesthésient avant de nous faire souffrir.
Quand on court vraiment, on n'a pas le temps de dormir.
-Cours! Comme si tu devais semer un vrai coureur!
On verra après tes douleurs et tes douceurs.
-Ne me laissez pas, j'veux pas rester là!
Où courrez-vous tous, comme ça?!
-En bas il y a le feu, il faut aller plus haut.
Il parait qu'en bas c'est toujours moins chaud.
-Ici, c'est "d'enfer...!?!"
Il y a "tout a faire".
Commentaires (2)
Mes pauvres yeux ne me permettent pas de tous vous lire comme je le voudrais.
J'écris plus que ce que je lis.
Amitié, Eric
commentaire
Mon vieil ami...
Je vois que ton texte date
De décembre en vingt-deux
Et Verbo s'en est allé
Vers d'autres cieux
Ses textes sont effacés
Semble-t-il, il n'y a plus guère
D'activités ici, par ailleurs
On le sait, le webmestre
S'est lui-même tiré
dans le pied
Y a de ça quelques années
Avec des changements
Tout feux tout flammes
Au plaisir de te relire
D'en pleurer ou d'en rire
Ghjslain